En 2010, j'ai créé le G5, un groupe d'auteurs, avec Dominique Paquet, Natacha de Pontcharra, Laurent Contamin et Luc Tartar. J'écrivais à l'époque:
Fonder le G5. Pourquoi ?
- Echanger sur la pratique, le quotidien, les coulisses de l’écriture.
- Rompre l’isolement qui guette toujours.
- Réfléchir et travailler ensemble sur les racines de l’écriture, sur les questions de dramaturgie, d’esthétique, mais aussi des rapports entre théâtre et monde, de la nécessité du théâtre, donc de la raison social du théâtre et des arts en général.
- Organiser et mener à bien ensemble des projets, face visible de nos travaux, proposant lectures, état des lieux de nos réflexions, écriture à plusieurs mains, performance, édition, exploration diverses… et ce qui n’existe pas encore.
Pourquoi ces cinq-là ?
Une intuition issue de ce que je connaissais, avais lu/vu de mes quatre camarades
Les ponts d’une probable entente :
- Ecriture qui interroge l’actualité et cherche à penser le monde
- Ecriture qui propose une transposition par rapport au réel, une distance généralement appelée poésie, en particulier dans ce qu’elle a de plus charnel
- Ecriture donc qui s’abreuve à quatre sources : le moi, le monde qui entoure, la mythologie et la langue
Le possible partage d’une optique
Et surtout de la différence, du désaccord, de l’opposition, de l’engueulade joyeuse, du plaisir de vivre…
Aujourd'hui le G5 continue sa route. Luc a décidé de suivre chacun de nous tout au long d'une journée de travail et de noter ses impressions. Allez voir sur le blog, là, ça vaut le clic:
Aujourd'hui le G5 continue sa route. Luc a décidé de suivre chacun de nous tout au long d'une journée de travail et de noter ses impressions. Allez voir sur le blog, là, ça vaut le clic:
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